Panthéon //!!en construction!!\\

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La Reine du Sahoc : Angélique // La Reine du Nieb : Celeste

Éros :
Tantôt enfant, tantôt éphèbe, il est le dieu des origines, de la vie, du désir, et de la création.
C'était un garçon turbulent qui n'avait aucune considération pour son âge ni pour la situation. Il volait avec des ailes d'or et tirait ses flèches au hasard. Incarnation de l'harmonie et de la puissance créatrice dans l'univers, Éros constitue, avec Chaos, Nyx, Gaïa et Érèbe une des cinq divinités primordiales. C'est le seul des trois qui n'engendre pas, mais qui permet à Chaos et Gaïa de le faire. Il est beau, immortel, dompte l'intelligence et la sagesse. Il est le plus ancien, le plus auguste, le plus fort des dieux, plus fort qu'Arès même. Proche d’Aphrodite, il lui rend toutes sortes de service.


Ananké :
Dans la mythologie grecque, Ananké est la personnification de la destinée, de la fatalité et de la nécessité (les Romains l’appelaient Necessitas). Les interventions d’Ananké ne sont pas de quelconques effets du karma entre des milliers, des millions d’autres. Ce sont des actes précis et ciblés, dont l’aspect insolite et parfois violent peut nous révéler l’origine supra-humaine. Il n’y a pas lieu de se monter la tête pour autant : Ananké ne se dérange pas personnellement pour nos petits problèmes, ni même pour les grands: quand le besoin s’en fait sentir, elle envoie une de ses filles -Clotho, Atropos ou Lachésis- les «divines filandières» qui, chacune selon ses responsabilités spécifiques, s’occupent de nos destins singuliers (sous la supervision d’Ananké, cela va de soi). Quand la vie est soudainement bousculée, perturbée ou transformée par un séisme ou un raz-de-marée (au sens propre comme au sens figuré), qu’un événement aussi étonnant qu’imprévisible vient remettre en question nos projets, nos espoirs, nos certitudes, on peut raisonnablement en déduire que les divinités se sont manifestées et que nous sommes sous l’influence d’une des filles de Nécessité. Quant au fait que cet événement nous apparaisse positif ou négatif, heureux ou malheureux, Ananké n’en a que faire et se fiche de nos jugements de valeur comme de sa première tunique. «Bonnes» ou «mauvaises», «justes» ou «injustes», les chose arrivent parce qu’elle doivent arriver. Les raisons de Nécessité ne sont pas à échelle humaine mais cosmique, et c’est pourquoi elles nous restent si souvent obscures. Son champ d’action n’est pas notre vie, notre époque, notre planète mais l’harmonie universelle, le «bon fonctionnement des choses» (que les Chinois appellent Tao). La mission d’Ananké est d’encourager ce qui va dans le sens de cette harmonie et de mettre des bâtons dans les roues à tout ce qui la menace. Quant aux effets de ses interventions, ils viendront en temps et en heure. Les moments qu’elle choisit pour se manifester sont en effet un autre aspect qui nous échappe. Si les événements qu’Ananké provoque nous apparaissent si souvent insensés ou injustes, c’est aussi parce que notre conception du temps n’a rien à voir avec la sienne; nos années, nos décades, nos siècles ne durent pour elle que le temps d’un clin d’œil: de son point de vue à elle, il n’y a ni avant, ni après, rien d’autre qu’un infini présent. Mais un jour -parfois très longtemps après, selon notre échelle humaine- la nécessité de son intervention se révèlera dans toute sa fulgurance aux esprits les plus éclairés.

Chronos :
Dieu primordial personnifiant le temps et la destinée. Il apparaît essentiellement dans les traditions orphiques, et est confondu avec Cronos, le roi des Titans dans les traditions tardives. C'est un être immatériel, apparu à la création du monde. Il peut être représenté sous les traits d'un vieil homme sage avec une longue barbe grise, ou sous ceux d'un serpent à trois têtes (une d'homme, une de lion et une de taureau) enlacé avec son épouse Ananké (déesse de la Nécessité, de la Fatalité) autour du monde-œuf. Ils sont censés entraîner le monde céleste dans sa rotation éternelle. Selon la cosmogonie orphique, ils seraient les géniteurs de Chaos et Éther.

Cronos :
Dans la mythologie grecque, Cronos ou Kronos, fils d'Ouranos (le Ciel) et Gaïa (la Terre), est le roi des Titans et le père de Zeus. Cronos appartient à la première génération des dieux ; il est le plus jeune des Titans, les douze enfants divins possédant une apparence normale. Haïssant son père, lequel voue les mêmes sentiments à ses enfants, sans que l'on sache si cela s'applique seulement à ses enfants difformes (les Cyclopes et les Hécatonchires) ou à l'ensemble de sa progéniture. Dès leur naissance, il les emprisonne dans le sein de leur mère. Furieuse, Gaïa fabrique une faucille en acier et demande à ses enfants de l'aider à se venger, mais seul Cronos répond à l'appel. Placé en embuscade, il attaque Ouranos alors que celui-ci vient se coucher avec Gaïa, et de sa faux, lui tranche les testicules, qu'il jette à la mer. Ouranos leur donne alors le nom de « Titans » parce qu’ils ont tendu le bras trop haut et parce que l'avenir saura en tirer vengeance. Ouranos et Gaïa avertissent également Cronos qu'il sera détrôné à son tour par son propre fils. Cronos épouse sa sœur Rhéa. N'oubliant pas la prophétie de ses parents, il dévore chacun de ses enfants au fur et à mesure qu'ils naissent : Hestia, Déméter et Héra, puis Hadès et Poséidon sont ainsi avalées par Cronos. Lorsque arrive le sixième, Rhéa, sur le conseil de sa mère Gaïa, cache l'enfant en Crète et le remplace par une pierre que Cronos engloutit directement. L'enfant ainsi épargné est Zeus. Il grandit loin de ses parents, et une fois parvenu à l'âge adulte, veut libérer ses frères et sœurs. Avec Gaïa, il s'arrange pour les faire recracher à son père. C'est Métis, déesse de la ruse, qui offre à Cronos un émétique. Celui-ci vomit alors tout ce qu'il avait ingurgité jusque là, y compris la pierre qui l'a abusé. Cronos finit jeté dans le Tartare, tandis que Zeus, Déméter, Hestia, Héra, Poséidon et Hadès gagnent les cimes du mont Olympe. Zeus libère les Hécatonchires et les Cyclopes du Tartare et, en récompense, reçoit de ces derniers le trait de foudre, qui lui sert à vaincre les Titans.

Zeus :
Roi de l’Olympe (le domaine des Dieux) il règne sur les cieux, ses attributs sont l’aigle et le trait de foudre.
Fils des titans Cronos et Rhéa, il est le dernier né de leurs 6 enfants. Il est marié à sa sœur Héra, et est le père de plusieurs dieux et de très nombreux héros.
Cronos, aussi tyrannique que son père, avalait ses enfants dès leur naissance par crainte de la prédiction de ses parents, Ouranos et Gaïa, qu’il engendrerait un rival qui régnerait à sa place. Zeus dut très vite échapper à son terrible géniteur; et sa mère, conseillée par sa propre mère Gaïa, substituera une pierre emmaillotée que Cronos avala à la place du petit Zeus. Emmené en Crète où il fut élevé par les nymphes du mont Ida, dans une grotte secrète de Lyctos, le nourrisson fut allaité grâce à la chèvre Amalthée, et ses cris qui pouvaient trahir sa présence furent couverts par les Courètes qui dans leurs danses guerrières entrechoquaient leurs armes avec fracas. Ses premiers gestes d’adulte seront d’évincer le dieu cruel qui l’a engendré : Cronos, géant monstrueux et primitif. Courtisant la Titanide Métis, qui devait devenir sa première épouse, Zeus la persuade de faire absorber à son père une boisson émétique. Cronos va ainsi rejeter tous les enfants engloutis. Zeus retrouve ses sœurs : Hestia, leur aînée, qui restera vierge, Déméter et Héra qui seront ses épouses successives ; et ses deux frères aînés formant avec lui une sorte de « Trinité » : Poséidon et Hadès qui se partageront, après leur cadet qui a pris le Ciel, le reste du monde : le premier, la Mer, le second, la Terre.
C’est avec l’aide de ses frères, de certains fils de Gaïa délivrés pour l’occasion du Tartare, et des enfants de la déesse Styx, que Zeus renversa son père au bout d’une guerre qui dura 10 années : La Titanomachie.

Héra :
Déesse protectrice de la femme, du mariage légitime, gardienne de la fécondité du couple et de la femme en couche. Ses attributs sont le diadème royal, le sceptre, le paon et la génisse blanche.
Fille des titans Rhéa et Cronos, elle est dévorée à la naissance par son père puis sauvée par son frère, Zeus. Elle fut alors élevée par son oncle et sa tante, Océan et Théthys, et courtisée par son frère. Mais Zeus ne parvint pas à la conquérir facilement. Héra accepta, à condition qu'il l'épouse. Elle est très jalouse des infidélités de son mari, et se plaît à persécuter les maîtresses de Zeus et leur progéniture.


Poséidon :
Dieu des mers et des océans, des tremblements de terre, et des sources.
Il est également le dieu des chevaux dont il est l’inventeur.
Ses attributs sont le trident et le cheval.
Fils des titans Cronos et Rhéa, il est dévoré par son père à la naissance puis rendu plus tard au jour grâce à une ruse du plus jeune de ses frères, Zeus. Poséidon participe avec son frère et les autres dieux à la Titanomachie (guerre des Titans) et c'est lui qui referme sur les Titans les portes d'airain du Tartare. Lors du partage du monde qui suit la victoire des olympiens sur les titans, Poséidon reçois la souveraineté des mers tandis que Zeus règne sur le ciel et Hadès sur les Enfers. Il a pour sceptre le trident et réside dans un palais d'or au fond de l'océan.


Hadès :
Dieu des morts et dieu du monde souterrain, il est le maître des Enfers, ses attributs sont le cyprès, le serpent, le sceptre des morts, la Kuné, la corne d’abondance.
Il est le troisième enfant de Cronos et de Rhéa, et le frère d'Hestia, Déméter, Héra, Zeus et Poséidon. Comme eux, il est avalé par son père et n'est libéré que lorsque Zeus, sauvé par Rhéa, oblige Cronos à tous les régurgiter. Il prend part à la titanomachie (la guerre des titans) et reçoit des Cyclopes la kunée, un casque merveilleux qui rend invisible, alors que Zeus reçoit le foudre et Poséidon le trident. Ce qui explique l'étymologie populaire du nom d'Hadès « l'invisible ».


Déméter :
Déesse des saisons, de l'agriculture, des moissons, et de la fécondité.
Ses attributs sont la gerbe de blé, le calathos, le flambeau, et la faucille.
Ses animaux sont le serpent, la truie, le bélier, et la tourterelle.

Quand Hadès, souverain des morts, enleva Perséphone pour en faire son épouse, Déméter partit à sa recherche et négligea les récoltes de la Terre. En prenant la forme d'une vieille femme nommée « Doso », elle erra pendant neuf jours. Se rendant compte qu'une famine menaçait les mortels, Zeus se décida à envoyer Hermès au royaume d'Hadès pour lui demander de rendre Perséphone à sa mère. Mais Perséphone avait mangé six pépins de la grenade offerte par Hadès, en guise de dernière ruse pour la garder avec lui, et la tradition voulait que quiconque mangeait dans le royaume des morts ne puisse le quitter. Zeus s'entendit pour que Perséphone passe les six mois cultivables sur la Terre avec sa mère et les six mois du reste de l'année avec son époux. C'est de ce mythe qu'est né le cycle des saisons dans la mythologie grecque. Déméter enseigna aux humains le travail des semis et du labour. Durant son errance sous la forme de Doso, elle rencontra Céléos, roi d'Éleusis. Pour le remercier de son accueil, elle prit avec elle les fils du roi, Démophon et Triptolème, tenta de rendre le premier immortel et enseigna au second l'art de l'agriculture. Celui-ci devait en retour enseigner cet art au reste des humains. Certaines traditions mentionnent qu'elle lui aurait aussi donné des grains de blé afin qu'il les répande sur la Terre.


Athéna :
Déesse de la guerre, de la sagesse, des artisans, de la pensée, et des maîtres d’école, elle est également la déesse des stratèges et des bâtisseurs.
Ses attributs sont la chouette, l’olivier, et le bouclier égide (orné d’une tête de méduse). L’Égide ne fige pas, mais apporte l’effroi à quiconque le regarde.
Athéna est également, avec Artémis et Hestia, l’une des 3 déesses vierges de l’Olympe.
Elle fut engendrée par Zeus seul, qui la mit au monde en s’ouvrant le crâne, pour chasser une migraine. Elle est connue comme la préférée des enfants de Zeus, qui ne lui refuse rien.

Héphaïstos :
Dieu du feu, des volcans, de la forge, et de l’industrie, il est également le dieu des inventeurs. Ses attributs sont le marteau et l’enclume.
Héphaïstos et le fils d’Héra, que la déesse engendra seule, par jalousie après que Zeus ait engendré Athéna. Héra voulant montrer ainsi a Zeus qu’elle pouvait faire de même. Mais lorsqu’elle lui donna le jour, Héra trouva son enfant si laid qu’elle le jeta en bas de l’Olympe. Les dieux étant immortels, Héphaïstos ne mourut pas, mais cette chute vertigineuse le rendit boiteux, et le dieu du feu ne guérit jamais de sa claudication. Selon Héra, ce serait Zeus qui, de jalousie, aurait jeté Héphaïstos en bas de l’Olympe.

Apollon :
Dieu solaire, patron des archers, de la musique et des arts, il est également dieu des purifications et de la guérison, mais peut apporter la peste avec son arc, enfin, c'est un des principaux dieux capables de divination, consulté, entre autres, à Delphes, où il rendait ses oracles par la Pythie.
Ses attributs sont l’arc, la lyre, la flûte, les cornes de bovidé, le laurier, et le trépied.
Ses animaux favoris sont le corbeau, le cygne, le coq, le loup, et le serpent.

Apollon est le fils de Zeus et d'une Titanide, Léto. Il a pour sœur jumelle Artémis. Dès sa naissance, Apollon manifeste sa puissance d'immortel, il réclame ses attributs, la lyre et l'arc, et affirme ses pouvoirs. Peu après la naissance d'Apollon, Zeus lui remet un char tiré par des cygnes et lui ordonne de se rendre à Delphes, le dieu n'obéit pas immédiatement, mais s'envole à bord de son char pour le pays des Hyperboréens, là vit un peuple sacré qui ne connaît ni la vieillesse, ni la maladie, le soleil brille en permanence. Il y reste pendant un an avant de partir pour Delphes. Et y revient tous les 19 ans, période au bout de laquelle les astres ont accompli une révolution complète. Apollon conduit le char solaire, d’Est en Ouest, il parcourt le ciel en transportant Hélios, le soleil.

Artémis :
Déesse de la chasse et de la Lune (par analogie à Apollon, qui est le dieu du Soleil) elle est également la déesse de la chasteté.
Ses attributs sont l’arc, le carquois, le croissant de Lune, et les flèches d'argent.
Ses animaux préférés sont la biche, le cerf et les chiens.
Artémis est, avec Hestia et Athéna l’une des 3 déesses vierges de l’Olympe.

Elle est la fille de Zeus et de Léto, et est la sœur jumelle d’Apollon, avec lequel elle partage beaucoup de traits communs. Armée d’un arc et de flèches offert par les Cyclopes, Artémis fait du pays des Hyperboréens sa résidence principale où elle règne en maîtresse de la nature sauvage et des animaux. Elle erre aussi dans les agroi, les terres en friches, incultes et peu fréquentées située à la frontière entre le monde civilisé et le monde sauvage. Coureuse des bois, sauvageonne insoumise et fière, Artémis appartient avant tout au monde sauvage. Seule parmi les dieux, à l’exception de Dionysos, elle est constamment entourée d’une troupe d’animaux sauvages. Elle est aussi à la tête d’une troupe de nymphes et de jeunes mortelles (les chasseresses), qu’elle mène à travers les forêts. Celles si après avoir juré le serment de rester vierge et d'abandonner pour leur déesse, l'amour, les hommes et tout ce qui va avec, reçoivent l'immortalité.


Hestia :
Déesse du feu sacré, du foyer, et des vertus domestiques, ses attributs sont le feu (âtre) et le foyer. Hestia est également, avec Athéna est Artémis, l’une des 3 déesses vierges de l’Olympe.
Fille aînée de Cronos et de Rhéa, sœur de Zeus, Poséidon, Hadès, Héra et Déméter, elle appartient à la génération des douze grandes divinités de l'Olympe. Aînée des dieux, elle jouit d'une considération particulière parmi les Olympiens, mais ne possède aucun temple pour célébrer son culte, en compensation, elle obtient de Zeus le privilège d'être honorée dans chaque demeure humaine et dans tous les temples.


Sheron :
Shinryu du monde des dragons. Certains humains en ont aussi fait leur dieu. Il est le fils de Dragon, qui donna son nom a tous les autres. Sheron vit dans les cieux mais ne se mêle pas aux olympiens. Son palais est fait d’or et son jardin à milles merveilles.

YHWH :
Le tétragramme YHWH (יהוה) est un nom hébraïque se composant des quatre lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו) hē (ה). Souvent présenté comme le « nom propre » de Dieu, il s’agit d’une forme issue de la racine du verbe « être ».
Pour les juifs, ce nom, dont la vocalisation n'est pas connue, ne doit pas être prononcé, en vertu du Troisième Commandement, traduit par : "Tu ne prononceras pas le nom de YHWH en vain...". En revanche, les chrétiens l’ont parfois transcrit dans les traductions par « Yahvé », « Yahweh » ou « Jehovah » en le prononçant. Cependant, l’Église catholique préconise de remplacer le nom de Dieu par l’appellation « Le Seigneur ».

Son nom étant tabou, le dieu reçut de nombreuses métonymies permettant à Ses peuples de le glorifier en utilisant des noms communs désignant ses attributs et ses éminentes qualités : Le Père, Le Très Haut, Le Berger, Elohim (le puissant), Boreh (le créateur), Adônaï (le seigneur), Hashem (Lui / Le Nom), Hadavar (Le Verbe), Shaddaï (le tout puissant), Shalom (paix / plainitude), Emet (vérité), Shekhinah (la présence), Olam (L'Éternel), El'Haï (Dieu Vivant), etc...

YHWH se présenta d'ailleurs lui-même sous ne nom de Ehye asher Ehye (Je suis Celui qui est) lorsque Moïse lui demanda son nom. Mais le dieu, décrit comme unique est créateur de toutes choses, peut tout simplement être appelé : El (Dieu), Halla (Le Dieu), ou "Yah" (abréviation du tétragramme qui compose son nom véritable, utilisé notament dans "Alléluia" (Hallelou Yah) "Rendez louange à Yah".
Les Humains n'arrivant pas a s'accorder sur son culte, se disperçèrent en trois grandes religions (Judaïsme, Christianisme, Islam) elles-mêmes divisées en de nombreuses branches.


Amon-Râ :
Dieux égyptien du Soleil, ont le considérait comme le dieu créateur de l’univers, le dieu de l’état et de la justice. Parcourant le ciel pendant la journée sur la barque de millions d’années. Selon les légendes, ont dit que Râ s’est créé lui-même dans une fleur de lotus sur le fleuve primordial. Ce n’est donc qu’ensuite qu’il a créé Shou (le souffle de la vie) et Tefnout (déesse de l’humidité). Eux-mêmes ont ensuite donné naissance a la divinité de la terre et du ciel (Geb et Nout). C’est ainsi, à partir de Râ, que le monde fut créé.

Osiris :
L’une des grandes divinités égyptiennes, il était adoré comme dieu de la végétation et de l’agriculture. Il est ensuite devenu le dieux des morts et de l’ascension à la vie éternelle. Il est considéré comme le protecteur et le juge des défunts. Osirit était le fils de Nout et de Geb. Il avait aussi un frère, Seth, et deux sœurs Isis et Nephtys. Isis était aussi sa femme. De leur union naquit Horus. Selon la légende, Osiris était celui qui gouvernait le monde des hommes avant que son frère, jaloux, décide de l’assassiner. C’est par la force de l’amour et par la magie d’Isis que celui-ci revécut. Il sera vengé par son fils Horus qui le remplacera à la tête du monde des hommes. Quand à Osiris, il devint la divinité des morts et de la vie éternelle.

Isis :
L’une des principales divinités. Protectrice du bien-être des naissances, des navigateurs, et de l’état. Elle joue un rôle fondamental dans le mythe d’Osiris, son époux tué et démembré par son frère Seth, dont elle réussi à réunir les membres, lui redonnant vi et concevant avec lui leur fils Horus. Comme épouse d’Osiris, Isis devint le symbole de la compagne et de la mère idéale. Elle est une typique figure de la déesse-mère.

Seth :
Frère d’Osiris, d’Isis et de Nephtys, il fut considéré dans l’ancienne Égypte comme la personnification du mal. Il est le seul dieux rouquin de son panthéon. Seth fut vénéré à certaines périodes comme dieu du feu, du chaos et du désert. Dans la mythologie il fut battu par Horus, qui vengea ainsi la mort de son père Osiris. Après avoir été vaincu, Seth est devenu le dieu du tonnerre, des tempêtes et du temps nuageux.

Horus :
Horus est vénéré dans tout le territoire égyptien. Il est une des divinités majeures et certainement une des plus anciennes. C’est le Dieu de l’Azur, il voit a travers le soleil et la lune. Il est souvent appelé « le vengeur de son père ». Avec Osiris et Isis, il forme ce que l’on appelle une triade. Il est le fils posthume d’Osiris et d’Isis. En effet, Seth tua son frère Osiris et le découpa en de nombreux morceaux de façon a disséminer son corps dans toute l’Égypte. C’est Isis qui eu le courage de tout rassembler. Son mari devint alors le dieu des morts et leur fils Horus naquit. Par la suite, des querelles très violentes eurent lieu entre Horus et Seth. Celui-ci voulais se venger pour ce que son oncle avait fait a son père. D’autre part, tout deux se disputaient le trône d’Égypte. Horus fini par gagner et devint le premier pharaon. Les rois d’Égypte sont considérés comme les incarnations du dieux Horus qui est leur protecteur. Lors de son combat avec Seth, il perdit un œil, mais le retrouva par la suite grâce a Thot. Cet œil (appelé Oudjat) représente la victoire du bien sur le mal. Porté sous forme d’amulette, il rendrait invincible et apporterait la clairvoyance.

Anubis :
Il est le dieu égyptien des morts. Son rôle principal était de veiller à l’embaumement et à l’accompagnement des morts vers le royaume eternel. C’est lui qui emmène le défunt dans la chambre des Deux Vérités afin qu’il subisse l’épreuve de la pesée. Il est d’ailleurs le président de cette cérémonie.

Apophis :
Dieux-Serpent, symbole de la puissance originel, toujours repoussé mais jamais anéanti. Cet énorme serpent est le symbole du non-être, de la non-existence. Ennemi cosmique représentant le mal et l’ensemble des forces destructrices, chaque matin et chaque soir, il attaque la barque solaire dans le but de la faire échouer pour interrompre le processus de la création. Long de cent coudées, son corps démesurément long et sinueux cherchait a enserrer le soleil pour l’anéantir. Mais l’astre divin se défendait avec succès et le monstre vaincu, rouge du sang versé pendant le combat, tintait de rouge l’aube et le crépuscule. Apophis hante un lieu situé au delà du monde créé (la Douat, le monde inférieur) symbolisant la non-existence, et où se retrouvant les ennemis des dieux et les pêcheurs qui ont étés condamnés par le jugement de la mort.